À deux pas du cœur historique de Bordeaux, une discrète porte cochère donne accès à un univers de sensualité et de volupté : le Candy. Derrière sa façade anonyme, ce petit sauna libertin déploie dans un écrin feutré tout un éventail de plaisirs pour les amateurs de rencontres coquines. Mixte et naturiste, il enveloppe ses visiteurs d’une ambiance tamisée aux relents musqués, où les corps s’enlacent sans retenue ni pudeur. Un véritable nid d’amour bordelais pour les libertins en quête d’évasion charnelle.
Le Candy, L’insolite écrin érotique des Chartrons
A peine la porte franchie, on découvre un dédale de pièces et recoins soigneusement aménagés sur près de 200 m2. Un accueillant bar avec boissons chaudes et fraîches à disposition donne le ton. Puis on emprunte de petits couloirs capitonnés pour déboucher sur les différents espaces dédiés à la détente sensuelle.
Au cœur du Candy trône un jacuzzi bouillonnant, dont les remous semblent inviter aux premiers émois tandis que la vapeur opaque du sauna sec promet d’autres délices vaporeuses. Disséminés un peu partout, de petits salons et alcôves forment les « coins câlins » où tout est permis entre séances de chaleur humide.
De la simple alcôve matelassée aux salons décorés sur des thèmes licencieux en passant par le mystérieux labyrinthe ou la backroom avec sa mutine boîte à trous, ces espaces osés combleront toutes les attentes! Une touche de raffinement dans ce petit Eden du plaisir : la propreté irréprochable et les serviettes, gants et paréos fournis.
Last but not least, les charmants patrons Christelle et Jérôme veillent sur le Candy avec un accueil des plus chaleureux. Installé au 3 rue Poyenne en plein quartier animé des Chartrons, ce cocon libertin conjugue sur une superficie restreinte tout le charme désuet d’un établissement haut-de-gamme.
Une expérience sensuelle et désinhibée
Dès les premiers pas dans ce dédale de plaisirs charnels, une atmosphère lascive saisit les sens. Les soupirs rauques de jouissance se mêlent au clapotis langoureux du jacuzzi pour former une discrète musique de volupté. À la lueur tamisée, les corps dénudés s’étreignent, s’embrassent avec une insouciante spontanéité, savourant l’instant présent.
Selon vos désirs, vous pourrez rester simple spectateur voyeur de ces ébats coquins ou bien vous laisser griser par la vague de désir ambiant. Certains plongent dans le jacuzzi pour d’indolents préliminaires, tandis que d’autres explorent déjà les délices des différents salons privés, perdus dans les vapeurs musquées du sauna ou lovés dans l’intimité capitonnée des alcôves.
Dans cette atmosphère libertine, aucun jugement, aucune obligation. Une douce tolérance règne en ce lieu, où chacun peut librement assouvir ses fantasmes les plus hardis. Caresses feutrées ou accouplements indécents, tout s’exprime ici au grand jour. Une joyeuse insouciance qui fait rapidement tomber les dernières barrières et inhibitions, au profit d’une convivialité charnelle où tous les plaisirs osés sont permis.
Un petit temple du libertinage
« Notre première fois au Candy fut une délicieuse découverte » se remémore Émilie. Au bras de son compagnon Julien, cette jeune femme plutôt réservée fut d’abord saisie par l’ambiance crépusculaire et les effluves musqués de luxure qui baignaient les lieux. Mais très vite, grisée par ce spectacle dionysiaque de corps s’enlaçant, elle se laissa porter par la vague de désir montante.
Des mains expertes et audacieuses commencèrent à la caresser tandis que Julien, subjugué, embrassait avidement les lèvres offertes de sa partenaire. Le couple sentit rapidement monter en eux une complicité complice, libérée par cette communion charnelle sans tabou ni retenue.
Des différents « coins câlins » leur parvinrent les soupirs d’amour physique : caresses feutrées dans le labyrinthe obscur, pénétrations hardies dans les salons dédiés, jeux coquins autour de la backroom et sa boîte à trous mutine. Exaltés par ces visions lubriques, Émilie et Julien finirent par se joindre eux-mêmes à la bacchanale, connaissant cette nuit-là tous les délices de la chair.
Le Candy est ce petit temple de l’amour libre où tous les libertins, couples, hommes et femmes seules viennent étancher leur soif de plaisirs sensuels dans la plus parfaite tolérance. Raffinement, érotisme et fantaisie se mêlent ici avec une insouciance joyeuse et décomplexée, à l’abri des jugements. Un cocon douillet au charme suranné où chacun peut librement vivre ses désirs les plus hardis, en profitant de tarifs avantageux réservant les femmes invitées.
Se rendre au Candy
Envie d’initiation ou de retrouvailles coquines ? Poussez les portes de ce doux repaire libertin 7 jours sur 7 à partir de 21h30. Pour accéder à son écrin de volupté, les couples régleront un droit d’entrée de 20€ et les hommes seuls de 40€, tandis que les femmes bénéficient du privilège d’être invitées. Un accès plus sélectif qui garantit une atmosphère détendue et libérée.
Plusieurs parkings à proximité immédiate (Q-Park Chartrons et Ferré) vous permettront de vous garer les esprit libres avant de toquer à la discrète porte du 3 rue Poyenne. Une fois à l’intérieur, n’attendez plus pour vous laisser griser par cette parenthèse de volupté dissolue, au cœur de la vie libre et épicurienne bordelaise !
Conclusion
Avec son cadre intimiste, son ambiance libertine sans vulgarité et son charme rétro, le Candy illustre à la perfection l’esprit frondeur et les plaisirs raffinés de Bordeaux. Planqué en plein cœur des Chartrons, ce petit établissement au nom évocateur propose une échappée sensuelle pour tous les désirs, qu’on soit couple initié, échangiste aguerri, voyeur gourmand ou simple curieux en mal de découvertes coquines.
Une parenthèse brûlante où les corps enlacés célèbrent dans un cocon osé leur liberté charnelle et prouvent qu’à Bordeaux, l’amour libre reste un art de vivre !